Dans une décision rendue le 30 avril dernier, la Commission des relations du travail (CRT) considère la «grève sociale» alors annoncée dans lescégeps pour le 1er mai comme étant illégale et ordonne aux enseignants concernés de ne pas faire grève (2015 QCCRT 0218). Toutefois, la CRT refuse de dépsoer cette ordonnance au greffe de la Cour supérieure, ce qui veut dire que le non-respect de l'ordonnance ne donne pas ouverture à une requête pour outrage au tribunal

Le gouvernement du Québec vient d'annuler son programme Stages d'été pour des étudiants inscrits dans un collège public ou privé, une école gouvernementale ou un centre collégial de transfert de technologie et ce, quatre jours avant la date limite de soumission des candidatures.

«On sait que c'est le début de quelque chose. Ce gouvernement-là ne va pas reculer le 2 mai...»

Alors que les tablettes de Moisson Estrie connaissent un creux à cette période-ci de l'année, environ 500 étudiants du Cégep de Sherbrooke demanderont la générosité de la population, jusqu'à jeudi, dans le cadre de la troisième édition de la guignolée des cégeps.

La précarité touche environ 40% des enseignants des cégeps, une proportion semblable au Cégep de Sherbrooke, selon le Syndicat du personnel enseignant du Cégep de Sherbrooke (SPECS-CSN). Pour mettre en lumière cette réalité, les enseignants de l'établissement ont de nouveau tenu un piquetage symbolique, hier matin.

Les nouvelles sont mauvaises pour les établissements d'enseignement postsecondaire de la région au lendemain du budget Leitao. Le Cégep de Sherbrooke s'attend à un nouvel effort budgétaire d'environ 1M$, tandis que l'Université Bishop's anticipe des compressions de l'ordre de 700000$.

Les nouvelles sont mauvaises pour les établissements d'enseignement postsecondaire de la région au lendemain du budget Leitao. Le Cégep de Sherbrooke s'attend à un nouvel effort budgétaire d'environ 1M$, tandis que l'Université Bishop's anticipe des compressions de l'ordre de 700000$.

Les citoyens du secteur de Deauville en ont marre des activités de transbordement des trains près des rues des Riverains et du Trianon. Estimant attendre en vain qu'une solution équitable soit mise en place, six citoyens se sont présentés au conseil d'arrondissement de Rock Forest-Saint-Élie-Deauville lundi.

Les enseignants quitteront les salles de cours le 1er mai si les autres établissements suivent

Des membres de la communauté collégiale, tant du personnel que desétudiants, se sont portés à la défense du Cégep de Sherbrooke, hier, en organisatn l'activité «On tient le Cégep à bout de bras». Les membres du personnel enseignant ont voté en faveur d'un débrayage le 1er mai afin de participer au mouvement de grève sociale prévue lors de cette journée.

Des scénarios de grève prennent forme au Cégep de Sherbrooke et à l'Université de Sherbrooke.

Nos formations collégiales mènent à l’obtention de diplômes nationaux, signés de la main du ministre de l’Éducation. Puisque les différents cégeps du territoire disposent néanmoins d’une marge d’autonomie pour la mise en oeuvre de leurs programmes d’études, le gouvernement a cru bon de créer, en 1993, un mécanisme d’évaluation externe lui permettant de s’assurer de la qualité des formations qu’il reconnaît de sa plume. Vingt ans plus tard, le moment du bilan est venu pour la Commission d’évaluation de l’enseignement collégial (CEEC), à l’heure où s’élaborent des pratiques internationales, voire universelles, en ce domaine.

Alors qu'ils attendaient le dépôt des offres du Conseil du trésor pour les employés du secteur public, des manifestants se sont réunis devant le bureau du député de Sherbrooke, Luc Fortin, sur l'heure du dîner hier, à l'invitation du Syndicat du personnel enseignant du Cégep de Sherbrooke (SPECS).

Le gouvernement Couillard propose des modifications importantes au régime de retraite des 541 000 employés du secteur public. Pour assurer la pérennité du régime, soutient le président du Conseil du trésor, Martin Coiteux. Pour accélérer les départs et faire des économies aux dépens des services publics, rétorquent les syndicats.

Sherbrooke, le 15 décembre 2014 – Aujourd’hui, alors que le Conseil du trésor dépose ses offres à la table centrale de négociation des employées et employés du secteur public, ces derniers souhaitent participer, eux aussi, à « l’échange de cadeaux » : tous les syndicats du Front commun 2015 de l’Estrie ont été invités par le Syndicat du personnel enseignant du Cégep de Sherbrooke (SPECS-CSN) à remettre au député libéral de Sherbrooke, Luc Fortin, des cadeaux à la hauteur des ambitions libérales : des boites vides !

Ce n'est pas un beau mot, crisse. On le sait. Ça paraît peut-être un peu violent, on le sait, ça, aussi. Et on assume. Mais c'est pas dirigé vers toi. Quand même. On se connaît pas, ce serait un peu intense. C'est qu'on trouve que ça suffit. « La situation ». Et on manque peut-être de mots, pour l'exprimer. Et c'est rare, on va t'avouer, qu'on manque de mots. Mais là, avec les haussements d'épaules, les yeux en l'air, la mâchoire qui se crispe, l'exaspération a fini par nous faire lâcher un « Aye. Crisse. ».

Fin du mois de mai 2013. Michel Seymour, professeur à l’Université de Montréal, présente à la réunion du Conseil fédéral de la FNEEQ, un argumentaire pour la gratuité scolaire. Il lance, au passage, un souhait : la conjoncture n’est-elle pas mûre pour tenir au Québec des États généraux sur l’enseignement supérieur ? Le Conseil fédéral en est d’emblée si convaincu qu’il recommande le lendemain « que la FNEEQ prenne l’initiative d’organiser des États généraux sur l’enseignement supérieur. » Un comité ad hoc est formé au printemps 2014 pour donner suite à cette recommandation.

Une délégation estrienne de six autobus est partie samedi en direction de Montréal pour prendre part à la grande manifestation contre l'austérité.

Des dizaines de milliers de manifestants contre l'austérité du gouvernement Couillard se sont fait entendre en simultané, samedi, à Montréal et Québec.

Les manifestations n'ont pas fini de se multiplier si le gouvernement continue de couper dans le réseau de l'éducation postsecondaire. Le personnel et les étudiants du Cégep de Sherbrooke ont dénoncé les compressions du gouvernement hier matin, tandis que leurs confrères de l'Université de Sherbrooke ont également fait de même sur le campus de l'UdeS.

Conséquence des compressions qui s'accumulent, une autre dizaine de postes devront être supprimés au Cégep de Sherbrooke, ce qui pourrait se traduire par la perte de 7 à 8 emplois. Les étudiants n'échapperont pas aux efforts: les frais payés pour divers services et activités pourraient être augmentés d'une quinzaine de dollars par session.

La rectrice de l'Université de Sherbrooke Luce Samoisette demande au gouvernement de prendre des engagements fermes de réinvestissement à compter de 2016-2017. Non seulement Québec doit réitérer son appui à l'éducation supérieure, mais il doit aussi présenter «rapidement sa vision de l'enseignement et de la recherche universitaire au Québec», fait valoir Mme Samoisette qui plaide pour que l'éducation devienne une priorité nationale.

Les enseignants du cégep de Sherbrooke manifestent ce matin sur le campus parce qu'ils refusent la logique d'austérité du gouvernement Couillard. Le 13 novembre dernier, Yves Bolduc annonçait de nouvelles coupures qui amputeront - à noveau! - le budget du cégep de 400 000 $.

Des organismes et syndicats se sont unis, lundi midi, afin de dénoncer les mesures d'austérité mises en place par le gouvernement Couillard.

Environ 2000 personnes ont manifesté dimanche matin devant les bureaux du député sherbrookois Luc Fortin, pour dénoncer les mesures d'austérité touchant les services de garde évoquées par le gouvernement Couillard.

Depuis quelque temps, le ministre Bolduc, estimant que la philosophie et la littérature au cégep constituent un obstacle au diplôme, voudrait les abolir afin que l'école rende la jeunesse plus apte à travailler. Vision édulcorée plaçant dans l'angle mort les fondements mêmes d'un système d'éducation au sein d'une saine démocratie.

Le 22 octobre 2014 va marquer l’histoire canadienne par la tuerie d’un vigile au Monument commémoratif de guerre à Ottawa et par l’intrusion du tueur dans le parlement canadien. Ce dernier fut abattu par les services de sécurité du Parlement dans un branle-bas de combat, pratiquement en direct à la télévision et sur les réseaux sociaux. En ce 22-10, le Canada a connu son mini-attentat du « 11 septembre 2001 » ou son « mini-Pearl Harbor » du 7 décembre 1941.

La direction du Cégep de Sherbrooke s'attend à devoir produire un plan de redressement, à la suite de l'adoption d'un budget déficitaire d'environ 500 000 $ en juin dernier.

Les mesures d'austérité que s'apprête à annoncer le gouvernement Couillard ont mobilisé près de 800 manifestants vendredi dans les rues de Sherbrooke, venus dénoncer ce qu'ils appellent le «carnage» et «le massacre à la libérale» des services publics.

Les syndiqués du secteur de l'éducation de la région ont marqué le dépôt de leurs demandes en vue du renouvellement de la convention collective, jeudi avant-midi.

Dans le débat au sujet des régimes de retraite, on fait référence à la rémunération des employés de la fonction publique québécoise pour la comparer à celle des employés municipaux. L’écart de la rémunération globale de ces derniers, en tenant compte des salaires et des avantages sociaux, se situe à 37,9 % en leur faveur selon la dernière évaluation de l’Institut de la statistique du Québec (ISQ). Cet avantage justifierait que le gouvernement sabre le régime de retraite des employés municipaux.

Le gouvernement Couillard affirme que la santé économique du Québec se trouve dans un piteux état, et que le seul remède est de couper massivement dans les dépenses afin de rétablir l'équilibre budgétaire le plus rapidement possible. Malheureusement, Dr Couillard et compagnie ne réalisent pas que leur médecine de cheval risque de tuer le patient!

La situation budgétaire du Cégep de Sherbrooke est dans un tel état que l'établissement devrait imiter la Commission scolaire de Montréal (CSDM) et tenir tête au gouvernement, ou du moins envisager des mesures similaires, croient des syndicats de l'institution. Ceux-ci ont salué la décision de la CSDM, qui a refusé d'appliquer en totalité les compressions demandées par Québec..

En dépit de ses efforts pour boucler son budget, le Cégep de Sherbrooke a dû se contraindre à adopter un budget déficitaire d'environ 500 000 $.

Montréal, le 3 septembre 2014 — C’est avec beaucoup de regret que le conseil d’administration de la Fédération des cégeps a accepté la démission de son président-directeur général, M. Jean Beauchesne, qui quittera ses fonctions le 27 mars 2015.

Dans son récent budget, le gouvernement du Québec a annoncé qu'il imposera des compressions de plus ou moins 20 millions de dollars au réseau collégial. Pour le Cégep de Sherbrooke, cela signifie un manque à gagner d'environ 450000$. Cette coupe s'ajoute à la diminution annuelle du financement de 450000$ en place depuis 2012.

Le budget provincial n'est pas encore déposé que déjà, le Cégep de Sherbrooke doit imposer des compressions, en raison de l'état de ses finances. La situation inquiète grandement les employés, qui anticipent une deuxième vague de coupes avec le dépôt du budget Leitao demain.